Jean-Jacques Rousseau – Julie ou la nouvelle Héloïse
« Il n’y a rien de plus incommode que le faste »
Quelques images de Genève…
Deuxième ville la plus importante de Suisse (après Zürich), Genève apparaît encore souvent aux yeux de ses détracteurs comme ennuyeuse et inintéressante
Où est le centre ?
Genève, comme chaque ville à l’aura internationale, a sa réputation à tenir et tente de remplir, plus ou moins bien, les attentes de ses nombreux voyageurs ou expatriés issus des quatre coins du monde.
Pour celui qui vient d’une grande ville, la première chose qui le frappe en arrivant à Genève est cette impression que Genève n’a pas vraiment de centre. On a beau chercher, il n’y a pas d’endroit qui ressorte comme vraiment animé. Genève garde clairement son esprit calviniste, avec des rues entières dépourvues du moindre magasin ou café, même à proximité du fameux « quartier des banques » auquel la RTS, la Radio Télévision Suisse romande, a consacré une série à succès. Mais pour celui qui prend le temps de s’y arrêter, il finit par découvrir de petits îlots discrets, comme si la cité du bout du lac voulait se réserver à ceux qui veulent bien se donner la peine de la découvrir vraiment.
Cosmopolite… Internationale… Ou sans âme et terne ?
Mais alors, qu’y a-t-il qui pourrait retenir l’expatrié à Genève ? L’argent, bien sûr, mais il faudrait être sinistre pour ne trouver que cette qualité à Genève ! Cependant, il est évident que les salaires suisses, bien supérieurs à ceux de la France ou de l’Italie voisines, pour ne citer que ses plus proches voisins, ont attiré nombre de nouveaux frontaliers depuis la mise en place des Accords bilatéraux II de 2004 qui facilitent grandement l’installation des salariés de la Communauté européenne sur le territoire suisse. Même si le « discours anti-frontaliers ne fait plus recette », force est de constater que le frontalier vivant en France voisine et travaillant à Genève se sentira toujours plus souvent pris pour cible que l’étranger installé fiscalement à Genève… Quant au migrant sans papier, la situation est évidemment encore bien plus difficile.
Alors, pour vous aider à voir Genève plus colorée, plus gaie, qu’elle ne vous est peut-être apparue lors de votre arrivée un triste et pluvieux jour de novembre, je vous propose de visiter mon blog qui tentera de vous démontrer que la dolce vita peut très bien se faire à Genève, voire mieux que dans des capitales qui semblent plus glamour.
Quelques liens indispensables pour commencer
Rappels historiques indispensables
Démarches administratives pour votre installation à Genève – armez-vous de patience et ne tentez pas de joindre l’Office cantonal de la population et des migrations (ça ne s’invente pas ! ) par téléphone
Et pour vous mettre tout de même l’eau à la bouche, les endroits à voir absolument à Genève
